Ô mon OSNi !

 

La poésie n’a jamais fait de mal dans ce monde de brutes. Que vient donc faire la poésie avec les OSNI allez-vous me dire ? Et bien élevons le débat pour une fois. Finis les blagues potaches et les jeux de mots grivois. Finis les chansons à tue-tête et les indices tirés par les cheveux. Adieu veaux, vaches, cochons ! Bon, oui, oui, la poésie, ce n’est pas encore tout à fait gagné.

Vous voyez cet objet : tout ce qu’il susurre ce n’est que beauté, onde, le souffle du vent courant sur une rivière, une source dans une nature sauvage ! Arrêtez-moi, la muse Terpsichore aurait-elle pris possession de mon esprit ?

A vos cerveaux !