Parfois il est bon de revoir les bases même si elles remontent aussi loin que l’école maternelle. C’est justement le sujet que propose de découvrir - ou plutôt redécouvrir - le groupe scolaire Victor Hugo : à savoir vous êtes plutôt verre à moitié vide ou verre à moitié plein ?
Tout le monde a plongé dans le grand bain du travail et a pris ses petites habitudes. L’important est de ne pas se noyer dans ses cours et pour cela il ne faut pas oublier de faire des pauses ! Et c’est justement à ça que servent les OSNIs, à s’accorder un moment de détente entre deux révisions tout en faisant quand même fonctionner ses neurones !
Ah, les fêtes de Pâques, synonymes de lapins, de cloches, d’œufs, d’autres chocolats et de sucreries en tous genres ! Elles arrivent à grand pas et une fois ingurgité le chocolat que l’on regrette aussitôt d’avoir mangé, elles se terminent. Toutes les bonnes choses ont une fin me direz-vous. Mais pour se remettre doucement au travail pour votre dernière ligne droite et pour vous accompagner dans cette période de reprise, je vous ai préparé un nouvel OSNI de qualité !
Et voilà, encore une fois notre enquête s’arrête ici. Il est temps de vous dévoiler le nom et la fonction de notre OSNI. Une petite dernière publication pour cette nouvelle année ! Mais avant le clap de fin, un clap de mains pour féliciter notre gagnant.
Un nouveau jour, un nouvel indice... Et non ! Ceci n’est pas le titre d’un mauvais téléfilm de M6 mais bel et bien la dernière ligne droite qui vous mènera directement au Graal mes petits enquêteurs. Pardon vers la bonne réponse ! Le Graal, tout le monde le sait, c’est Indiana Jones.
Je vous l’avais promis : ce n’est pas un, ni deux mais trois indices que je vous propose. J’espère que le premier ne vous a pas trop perturbé. Abraham est un personnage que j’adore et son prénom est d’une telle sagesse qu’il ne peut que nous inspirer. Mais je me perds. Voici venu le temps... d’un nouvel indice !
Oyé ! Oyé ! Voici venir le premier indice. Telle l’hirondelle qui fait le printemps, l’annonce du nouvel OSNI précède la cascade d’indices. Ce n’est donc pas un, ni deux mais trois de mes amis qui vont vous guider dans votre quête. But first…
Jeunes et moins jeunes, ami-e-s et inconnu-e-s : bonjour et bienvenue dans cette nouvelle chasse aux OSNIs. Cette fois-ci, j’ai choisi un objet du fin fond de mes réserves, à la hauteur des grands détectives que vous êtes devenus !
Quatre semaines qui sont passées si rapidement ! Les OSNI ne connaissent pas l’ennui. Ils vous conduisent sur une route, vous font hésiter à un carrefour et vous font parfois revenir sur vos pas pour mieux avancer. Les OSNIs, c’est comme la vie en fait. A un moment il faut faire un choix ! Et vous savez ce qu’on dit choisir, c’est mourir un peu ! Qui a donc fait le bon choix ?
Bon, par contre même si ce n’est pas toujours évident avec toute la famille, le principal c’est que Tonton René vient d’arrêter de vous raconter ses folles années rock’n roll, de vous dire que c’était mieux avant et que le repas de Pépé et Mémé est enfin terminé ! J’espère que vous avez su surmonter cette épreuve familiale pour trouver la réponse à cette énigme. Non ? Allez, un petit dernier pour la route alors : indice, un petit dernier indice pour la route !
Et voilà, encore une fois, nous avons brûlé la chandelle de notre histoire par les deux bouts. Pourtant, elle était belle cette histoire. Je dirais même plu bella qu’una papaya ! Mais toutes les histoires ont une fin. Non, je plaisante, un nouvel OSNI en chasse toujours un autre. Nous nous retrouverons donc sur la toile rapidement et en attendant, roulements de tambour pour notre gagnant-e.
Bello les Papayas ! No me te due spetta mas. Para tu, underwear : stoppa les bananoninas ! Ma twat ? Bulaka ? Kam-nen ! Sella OSNI. Si ; si, yakitori ! Play ! Poukilaloupata ! Poukilapoupata ! Poukilapoupata !
Alors qui a découvert le nom de notre scientifique ! Allez, pour les retardataires, je suis d’humeur Grande Princesse. La femme mystère était Rosalind Franklin. Il ne reste plus qu’à découvrir le nom de l’objet mystère. Pas de sophisme ou de mauvaise blague en conclusion bien évidemment ! Je vous vois venir.
Connaissez-vous l’effet Matilda ? Cette théorie développée dans les années 80 par l’historienne Margaret Rossiter, selon laquelle les femmes scientifiques profitent moins des retombées de leurs recherches que leurs collègues masculins. Les hommes, ne partez pas pour autant ! C’est vous qui avaient obtenu le prix Nobel pour la découverte dont nous allons parler ! Mais avant, un petit jeu…