Une crème d'OSNI (indice n°2)

 

Pourvu qu’elle ne nous reparle pas histoire de l’art ! Svouplé ! Eh bien, perdu ! Chacun ses petites marottes ! Je vais remonter le temps mais toujours en parlant d’œuvres ou mouvements connus. Je parie que vous connaissez tous l’impressionnisme. Et bien, je ne vais pas du tout en parler !

 

 

Enfin un peu, pour faire court pour ce point culture, l’impressionnisme renouvelle les codes de la peinture car les artistes ne se limitent plus à leurs ateliers pour réaliser leurs œuvres. Ils sortent battre la campagne et parfois la ville avec des thèmes représentatifs de leur époque et des progrès du XIXe siècle. Pour retranscrire tous ces chamboulements, il faut donc trouver un nouveau moyen pictural de saisir ce mouvement d’où l’utilisation de ces touches de peinture colorés ! Ok ?

Donc à quelques kilomètres de là (de Paris), à Barbizon (latitude : 48.45 ; longitude : 2.6), de nombreux peintres arpentent la campagne pour travailler comme qu’on dit dans le jargon « en plein air et d’après nature » : paysages, scènes de la vie rurale, animaux en train de paître… Ces peintres formellement plus classiques demeurent innovants dans le choix de leurs sujets à l’image du peintre français Julien Dupré (1851-1910) et ce tableau ! C’est l’école de Barbizon, à connaître pour vos futurs dîners mondains chez l’ambassadeur !